La Z a servi de base à de nombreux constructeurs et préparateurs... Ci-dessous une liste non exhaustive :
Le hollandais Nico BAKKER a construit de nombreuses machines de courses dont un cadre pour ... Giacomo AGOSTINI... Ses productions sont nombreuses et sur différentes bases SUZUKI, KAWASAKI, HONDA, KREIDLER ou YAMAHA...
Né le 30 juin 1937 à Zurich, Fritz Egli est un pilote amateur courant en course de côte. Dans les années 1960, il utilise une Vincent Black Shadow dont il juge le moteur capable de grandes prouesses. Malheureusement, la tenue de route n'est pas en adéquation. Il décide donc de créer son propre cadre et d'y installer le bicylindre de la Black Shadow. Ce cadre se compose principalement d'un tube rond horizontal comme poutre. Il a l'avantage d'être très rigide pour un poids inférieur à un cadre normal. Cette invention lui assure le succès en compétition.
Plus tard, avec l'arrivée massive de motos japonaises, « Le Sorcier » Fritz, comme on le surnomme, adapte son cadre à la plupart des moteurs commercialisés, tout en conservant le principe de l'épine dorsale ronde faisant parfois office de réservoir. Ainsi, après l'Egli-Vincent, on voit rouler des Egli-Honda (moteur de CB 750 Four), des Egli-Kawasaki (750 H2 ou 4-cylindres de Z900 ou Z1000), des Egli-Ducati (sur base 900 SS) ou des Egli-Yamaha (monocylindre de 500 SR).
Pour le reste de la partie cycle, le client choisit sa configuration. Mais l'usine ne se fournit que chez les grands équipementiers. On peut bénéficier de fourches Marzocchi ou Ceriani, associées à des amortisseurs Koni ou Ceriani. Le freinage est confié à Scarab, Lockheed, Fontana ou Grimeca.
Au milieu des années 1990, Fritz Egli a arrêté la production de ses motos depuis longtemps. Mais, Patrick Godet est un amoureux du travail du Sorcier suisse, il décide de faire revivre ces motos mythiques. Il construit dans son garage une réplique de l'Egli-Vincent. Lorsque Patrick présente le résultat de son travail à Fritz Egli, celui-ci est très enthousiasmé par sa réalisation qu'il juge supérieure en finition a celles qu'il fabriquaient a la fin des années 1960. Il lui permet de commercialiser une réédition (et non une réplique) sous sa marque Egli-Vincent. Cela fait maintenant une bonne dizaine d'années que Patrick commercialise ce modèle Café Racer. en 2002, il ajoute GT qui correspond plus au profil de sa clientèle qui souhaite également faire du duo. Patrick exporte ses chefs d'œuvre dans le monde entier et la clientèle américaine lui demande « plus de cylindrée ». Début 2004 il présente un modèle inédit, le 1330 qui est extrêmement puissant avec près de 100 ch à la roue arrière.
En 2006, un passionné de la marque et de motos anglaises (Florent Pagny) s'associe à Patrick pour donner un nouvel élan à l'entreprise. Patrick n'est pas le seul sur le créneau et deux autres entreprises (anglaises) proposent des répliques d'Egli-Vincent [JMR et Hailwood] profitant du vide juridique régnant autour de la marque Egli-Vincent que Fritz avait imprudemment laissée le soin à son importateur de l’époque déposer (Slatter). Ces répliques sont fabriquées également en petite quantité mais ne bénéficient pas de la bénédiction de Fritz Egli.
EGLI RACING
Michael Niemann
Obere Mühle 28
58644 Iserlohn
GERMANY
Tel +49 2371 25292
Fax +49 2371 22310
Email egli-niemann@t-online.de
Dans les années 1970, Dutchmen Janssen et Engberts s'associent pour créer une compagnie appelée Janton. Ils ont produit des échappements, des bras oscillants et de châssis complets.
Spondon est un artisan-constructeur, contemporain des MARTIN.
78 NOTTINGHAM ROAD, SPONDON, DERBY, DE21 7NL
TEL: 01332 662157 - FAX: 01332 669098
Créé le 30 septembre 1973, MORIWAKI a démarré ses premières préparations sur Z1, la firme compte actuellement une trentaine d'employés et exporte aux USA, Australie, Europe, etc...
MORIWAKI ENGINEERING Co., Ltd
6656-5 Sumiyoshi, Suzuka, Mie
513-0825 JAPAN
TEL: +81 (0)59-370-5000
FAX: +81 (0)59-370-5014
La CORKI est l’œuvre de Lucien CORDONNIER ; il a commencé sa carrière en fabricant à 17 ans un cadre pour courir avec un moteur de 500 COBRA SUZUKI. D’ailleurs, le nom CORKI vient de l’association COR-DONNIER et SUZU-KI (et non KAWASAKI). Il a réalisé de très belles parties cycles de 500 H1 et de 750 FOUR. Il a même couru avec l’une d’elles au bol d’or. Il a également réalisé la partie cycle de la YAMAHA TZ avec laquelle Christian SARRON a remporté son titre de champion du monde en grand prix.
Il exerce encore actuellement à COLONFAY (02)…
Sylvain CORDONNIER
1 Chemin de Wiege 02120 COLONFAY
en liquidation depuis Mars 2011
Don et Derek Rickman, surnommé "The Brothers", développèrent leur premier cadre routier en 1965. Ils avaient un passé dans les courses tout-terrains, où ils avaient gagné plus de 50 victoires, notamment le Grand Prix de Belgique 1959 et le Grand Pix de France 1960. A la fin 1966, ils assemblèrent la première version homologuée route de leur Rickman "Métisse". Les différences par rapport à la version course se situaient au niveau du moteur (un Triumph Bonneville d'origine), un échappement spécial, et évidemment, les phares avants et feux arrières.
Le chassis de la Métisse était capable de supporter différents moteurs, comme des Triumph; Norton, BSA, Matchless ou Royal Enfield. En 1974, Rickman se vut décerné le "Queen's Award to Industry" pour leur réussite à l'export. Mais la même année, Triumph et BSA fermèrent leurs portes et le contrat d'export pour les Etats-Unis ne fut évidemment pas reconduit. Ce qui conduisit à de graves problèmes chez Rickman, puisque 90% de leur production partaient aux USA. En effet, au début des années 70, Rickman était le plus important constructeur anglais de moto.
Pour combler le marché perdu, et pour répondre à l'attaque des nouvelles machines japonaises, les frères Rickman présentèrent leur chassis CR (Competition Replica) capable d'acceuillir les légendaires moteurs Honda CB 750 et Kawasaki Z1/Z900. Ce chassis était équipé d'une fourche avant de 42mm, des freins à disques Lockheed à l'avant comme à l'arrière, et des jantes en alliage et il pouvait compter une ou deux places.
Les Rickman arrêtèrent leur production, avant de totalement fermer en 1988.
Georges Martin commença dans les années '70 par fabriquer des parties cycles, dont le dessin rappelle ce que faisait Fritz Egli en Suisse à la même époque, sans en être pour autant une copie. Le
matériau utilisé sur le "Martin" était d'ailleurs bien plus noble puisqu'il s'agissait d'acier de type 25 CD 4S (0,25% de carbone, 4% de chrome, moins de 4% de molybdène...).
Martin changea ensuite son fusil d'épaule et conçut des cadres encore plus originaux ancêtres, en quelque sorte des cadres périmétriques de nos motos actuelles les plus sportives, ainsi que des
bras oscillants.
Ces engins, construits quasiment sur mesure, avaient un prix de revient important et équipèrent bien souvent des machines "caramélisées" par leurs pilotes en herbe à qui Martin proposait, pour un
prix quasiment identique à l'assemblage douteux de tuyaux de chauffage fourni en origine par l'industrie japonaise, une vraie partie cycle au comportement sain : Une moto de compétition gréée
pour la route, ce qui correspond à nos "hyper-sportives".
Puis l'industrie japonaise, Suzuki le premier, commença à commercialiser ses propres machines dans cette même catégorie et les cadres Martin n'eurent plus alors aucune raison d'être.
Depuis, il s'est reconverti dans la fabrication de répliques d'automobiles anciennes. Mais celles qui sont le plus proches des motos : Les Lotus "Seven".
établi aux sables d'Olonne
On a souvent tendance à oublier de citer Godier-Genoud parmi les constructeurs français. Et pourtant ... Georges Godier est attiré très tôt par la compétition qu'il débute sur un Itom
50cm3. Après son service militaire, il oublie la course pour s'acheter une 305 Honda. Ce qui lui vaudra, suite à une panne (et oui, même les Honda tombaient en panne à l'époque), de
faire preuve de ses talents de mécanicien devant les yeux ébahis de l'importateur Suisse qui l'embauche sur le champ.
C'est son installation en Suisse qui lui donnera l'occasion de faire la connaissance de Alain Genoud, qui est alors barman, mais également passionné de moto.
Après avoir suivi des carrières parallèles, ponctuées d'un nombre plus important s de déboires que de victoires, ils finissent par unir leurs efforts en 1972 : Georges tenant le poste de
mécanicien et Alain s'improvisant organisateur, ils achètent une épave de 750 Honda qu'ils installent dans un cadre Egli. Qui de plus logique lorsque l'on est installé en Suisse ?
De casses en chutes, les choses ne vont pourtant pas comme ils le désirent. Ils sont sur le point de baisser les bras lorsqu'une encourageante 5ème place aux 24 heures de Barcelone leur fait
entrevoir le bout du tunnel. La victoire leur sourit dès la course suivante, à Zolder. Après une 3ème place à Mettet et une 2ème au Bol d'Or, ils coiffent la couronne de Champion
d'Europe 1972.
Suite à une saison 1973 un peu moins brillante, ils font une proposition à Honda France qui la refuse. Ils passent donc un contrat avec Xavier Maugendre, importateur Kawasaki en France : La
légende est en route.
Après 3 victoires (24 heures de Barcelone, Mettet et Bol d'Or) c'est un nouveau titre européen.
En 1975, l'équipe GG remporte encore le Bol d'Or avec la moto à cadre Doncques, sorte de conte de fée devenu réalité puisque résultat du projet d'études des élèves de l'IUT d'Amiens dont Pierre
Doncques était le professeur.
Déjà, arrivent les RCB chez Honda, véritables machines de compétition conçues pour l'endurance : Difficile, pour une équipe qui reste constituée d'amateurs - au sens noble - de
faire front.
Les deux compères cessent donc la compétition et en 1979 (d'où la date ci-dessus) sort la première moto avec une carte grise "Godier-Genoud". Cinq cents environ en seront fabriquées.
Georges Godier reprendra ensuite la direction technique des activités sportives de Kawasaki-France, dont les pilotes domineront le championnat du monde d'Endurance en 1991 et 1992. Il disparaît tragiquement le 28 mars 1993.
GODIER GENOUD
GGRD
400 Route de viry 74160 - BEAUMONT
Tél : + 33(0)4 50 49 33 25 ou +33(0)6 98 87 58 94
Mail : godiergenoud@wanadoo.fr
Un peu plus ICI ....
DRESDA, firme anglaise, travaille bien sûr beaucoup sur des bases de HARLEY, HRD, TRIDENT, TRITON, AJS, BSA mais également des japonaises (SUZUKI, KAWASAKI...)
Dave Degens Dresda Auto's Call on (+44) 01293 871887
Contact Kevin Hann on 07710 404 792 or dave@dresda.co.uk
Source: RocketGarage Cafe Racer
Lorsque Daniel Vouillon rencontre Edouard Moréna, il y a déjà longtemps que ce dernier "sévit" dans le domaine de la moto. Depuis 1968 environ, lorsque, petit mécanicien formé "sur le tas",il commence à s'occuper des Suzuki de Jack Findlay, et à faire ses preuves. Il fabriquera ensuite des parties cycles spéciales pour Hubert Rigal et quelques uns de ses amis du "Centaure-Club", voir des clients privilégiés, qui les équipaient pour la route. Parties cycles qui avaient la particularité d'être très légères et de ne posséder qu'un seul amortisseur sur le côté. Certains sont doués pour la mécanique. Edouard Moréna, bien qu'il ne soit pas "manchot" de ce côté, avait un don particulier pour les châssis : Il était capable de vous fabriquer un cadre sur une table de cuisine, sans marbre ni le moindre gabarit. Il s'occupa ensuite des motos de Christian Estrosi. Mais il finit par se lasser du monde des Grand-Prix, il s'associa, vers 1985 avec Daniel Vouillon. Ce dernier engageait les motos en compétition - ses machines terminèrent 3ème au Championnat du Monde d'endurance 1984 - pour en lancer la production par la suite, après ces tests, on ne peut plus exigeants.
Les ateliers sont installés à Golf-Juan.
En 1985, les frères Sambiase établis à Marseille - à croire que plus rien ne se fait en matière de moto en dehors de la région du Sud à cette époque - ont déjà une certaine expérience en matière de cadres destinés à des motos performantes, puisqu'ils ont déjà réalisé ceux de la moto de Gabrel Grabia, ainsi que celui de la 250 Pernod (ci-contre) qui a remporté le Grand-Prix d'Angleterre avec Jacques Bolle en 1983. C'est en prenant connaissance du travail réalisé par Claude Fior pour les "Boxer Bikes" que les frères Sambiase auront l'idée de réaliser une moto de route dotée d'un cadre en aluminium (pour les initiés : du 5056 A H32) de section carrée, suspension arrière "unitrack" à amortisseur Koni, fourche Cériani magnésium avec tés "maison" en aluminium, freins Lookeed. Le moteur est un 750 Kawasaki "Ninja" dont l'alternateur est déplacé à l'arrière du moteur pour gagner en largeur.
Tadashi Asahina scrute l'écran du téléviseur dans son stand avec un sourire crispé. L'écran affiche le Z1 Asahina 120 CV N° 79monté par son co-équipier, Akinori Okada pour les 8 Heures de Suzuka ... De cette 900, il n'a pas conservé grand chose d'origine mais l'émotion est encore là... Et il est même parvenu à qualifier la machine en 2003 face à des monstres modernes de plus de 200 chevaux...
Tadashi Asahina est le créateur de EXTEC ASAHINA RACING.
Yoshimura a préparé des 900 superbike pour Daytona. Wes Cooley a piloté cette 35 en 1973.
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NorKaw - Une moto construite à partir d’un cadre de Norton Atlas et équipée d’un moteur de Kawasaki Z1.
Cet ensemble de belle facture a été réalisé par Mick King. En effet, au début des années 1970, il a construit cette superbe moto, à partir d’un cadre Norton Featherbed et du moteur de la nouvelle marque Kawasaki Z1. Mick trouvait que l’assemblage des deux ferait une paire intéressante alors il a introduit un moteur de 900z dans un cadre NORTON…
Le cadre est celui d'un Atlas 1968 Norton Commando avec une fourches et un hub de Yamaha TD3 sur une jante de 19 pouces. Les équipements
électriques sont ceux du Z1 sauf le phare qui est celui de la Commando. Les tubes inférieurs du cadre ont dû être baissés d'environ 2 pouces et demi pour accueillir le nouveau moteur.
La moto a terminé pesait 450 livres,
environ 50 livres de moins que la Z1, avec allumage électronique
et le moteur Z1 apporta une plus grande fiabilité que celui du
Norton. Les silencieux sont des DUNSTALL.
L'ensemble du projet a pris seulement environ 350 heures et le coût, en
1974, était seulement de 2500 dollars…
Dans les années 70 et 80, Georges Martin (voir plus haut) était l'un des châssis les plus prolifiques de l'Europe. Basé aux Sables-d'Olonne, il a construit près de 6.000 cadres pour motos custom et la course. Il reste encore une figure emblématique sur la scène continentale, et ce nouveau café racer est un hommage à ses compétences. Il a été construit par le préparateur français Alain Bernard dans les ateliers Santiago Chopper à Tampa (Floride) pour raviver ses vieilles passions de motos de course et Kawasaki en particulier. Le châssis est un châssis 70 d'origine Martin, Alain Bernard a choisi un moteur Kawasaki Z1000. La face avant, le bras oscillant, le système de freinage et les roues de 17 pouces proviennent d'une Suzuki GSX-R 600 de 2007, tandis que la selle est un élément Benelli. Mélange de classicisme et de modernisme, la moto reproduit le look MARTIN et la peinture à la gloire de Breitling lui donne une touche résolument moderne. Ce choix de la marque a été voulue par Bernard car il a construit une moto dans le passé pour le propriétaire de la marque horlogère suisse. Ce CF a été présenté à la télévision dans la série Café Racer diffusée sur la chaîne Discovery Channel.
Le Breitling Cafe Racer a été vendu $35,000.00 aux enchères pour ramasser des fonds pour la Curing Kids Cancer Foundation.
liens: SANTAGIO CHOPPER et ALAN BERNARD BREITLING CF et ICI
5 exemplaires construits, 2 existent encore dont celui-ci.
Pour les spéciales, voir aussi :
http://www.satanicmechanic.org/pem.shtml
http://www.moto-histo.com/france/fr4/fr4.htm
Un double.... H2 !!!!....
Une .... 7 cylindres KH 606 !!!!....
Un double 900 = 1600 cc !!!...
Les 2 réalisations ci-dessous ont été construites par Allan Myllyard (un nom prédestiné ...). La premiere est née de l'accouplement de 2 moteurs 900 inclinés à 70° (le modèle est exposé au musée BARBER à Birmingham), la seconde de 2 moteurs Z 1300
Plus fort : Un Z 2000 !!!...:
Encore plus fort une double 1300 = 2300 cc !!!... (Y'a un peu de perte !)
Encore plus extravagant : ...un 48 cylindres !!!... construit par Simon Whitelock
un .... 1000 dans une tondeuse !!!... :
Et un fana du chrome à outrance...:
Dany Dieudonné, née en 1948, est une pilote française de dragster moto:
Dany Dieudonné a remporté sept fois le titre de champion de France de dragster. Notamment, en 2004, elle gagne le championnat après une interruption de compétition de dix ans.
La catégorie Competition Bike (autrefois nommée Top-Fuel), la plus huppée du championnat de France de dragster, se déroule en quatre manches. Son mari lui a fabriqué son premier dragster, autour de la moto de route de Dany, une Honda 900 Bol d'Or, alimentée à l'essence. Dany a débuté avec cette machine sur le circuit Bugatti en 1980, lors du Dragster Festival. Ce matériel sera par la suite amélioré par Dany et son mari (fonctionnement au nitrométhane, carénage modifié). Dany le pilotera jusqu'en 1982.
Son premier vrai dragster aura une base de Kawasaki. Dany a couru dans ce sport assez violent avec cette machine jusqu'en 1986. Puis elle pilote un impressionnant dragster de 350 kg, animé par un bimoteur Kawasaki alimenté au nitrométhane développant 600 ch, atteignant près de 300 km/h en 201 mètres de course. Aussi est-elle la femme la plus rapide de l'Hexagone.
Dany a fait plusieurs centaines de runs dans sa carrière, en compétition ou à l'occasion de démonstrations. En 1983, au Tourist Trophy, le gouverneur de l'île de Man la récompense pour sa démonstration de dragster. En complément du dragster, Dany Dieudonné court en endurance avec ses deux fils Marc et Éric. Dany est grand-mère depuis l'année 2000. Fernand, son mari, est son plus fidèle mécanicien.